Curieux tout de même ces similitudes douloureuses entre les circonstances qui ont affecté le CSP et le PSG à trois jours d’intervalle.
En principe, ces équipes devaient gagner leur match, ou à la rigueur conserver le goal (ou le point) avérage.
Le défi était clair, les obligations impératives !
Pour réaliser ce genre d’exercice il faut au minimum avoir l’envie de réussir en soulevant des montagnes et en étant respectueux de ses couleurs.
Chronologie des évènements :
En tout début de rencontre,
– le CSP est laxiste et le score est impitoyable : JSF 10 – CSP 0
– le PSG est en mode soft, tripotant la « baballe » et se fait harponner par un but « casquette » imputable à sa défense : PSG 0 – MANCHESTER 1.
Puis rapidement le CSP revient à deux points, le PSG égalise, l’espoir s’installe mais il est de courte durée, faisant place à l’immobilisme ! Il était dit que fragilité rimait avec manque d’agressivité. A la mi-temps, Nanterre menait de vingt points, Manchester devançait les locaux 2 buts à 1, suite à la seconde bévue de la défense parisienne.
La seconde mi-temps, aussi bien à M. Thorez qu’au Parc des Princes, ne fut qu’un long calvaire, avec succession de fautes issues d’absences de conviction et de passion.
En fin de match, là ou l’esprit vertueux doit rejoindre les « braveheart », au moment où « les grands fauves défendent leurs portées », les joueurs ont lâché leur « magot ». Alors, justice est rendue aux besogneux qui ont fait étalage de courage et de « fighting spirit ».
Malgré cela, je crois profondément que notre équipe n’a pas rejoint « le cimetière des looser ! ». Dès samedi prochain ils vont démontrer à Beaublanc qu’ils ne souhaitent pas à nouveau trébucher sur le roc qui se présente : Monaco en l’occurrence. Un accident, aussi détestable soit-il, ne doit pas être l’estampille qui « pend aux basques » des joueurs.
Ils nous doivent une revanche : voilà l’occasion rêvée de l’offrir aux supporters. Hardi les gars et hauts les cœurs à Beaublanc.
Le vert luisant